BANIA et Hafidh  Bidari au Festival Maghreb Jazz Days #11
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BANIA et Hafidh Bidari au Festival Maghreb Jazz Days #11

Sur la route du grand désert algérien, Bania nous propose d'aller à la rencontre d'un héritage musical et spirituel fascinant .

By FONDATION DE LA MAISON DE TUNISIE

Date and time

Saturday, February 8 · 7 - 8:30pm CET

Location

Fondation de Maison de Tunisie

45 Boulevard Jourdan 75014 Paris France

Agenda

7:00 PM - 8:30 PM

Bania de Hafidh Bidari au festival Maghreb Jazz Days #11

kaouthar Errachid


“Le Sahara compte de nouvelles voix captivantes pour propager ses traditions afro-berbères. Rompue dès l’enfance aux cérémonies du diwane (le gnawa d’Algérie), celle de Hafid Bidari a mitonné dans le...

About this event

  • Event lasts 1 hour 30 minutes

Sur la route du grand désert algérien, Bania nous propose d'aler à la rencontre d'un heritage musical et spirituel fascinant, qui prend ses racines en Afrique noire pour s’épanouir Maghreb ̀ travers le Diwane (Gnawa algérien) et les différents styles musicaux du désert : Ahellil et Gouaril.

Chaque titre est une escale singulière, explore les rythmes, les couleurs et les

parfums de cet univers mystérieux qui a traversé des siècles en se transmettant de génératition en génération.

Porté par la voix puissante et intense de Hafid Bidari, le groupe Bania en donne une vision

contemporaine à travers une fresque d’expérimentations inédites, où la complexité

des percussions et du goumbri (basse traditionnelle des gnawas) s'associe ̀ l'énergie et

fougue des guitares et de la batterie pour mener l'ensemble ̀ à la transe. Celle qui libère

des contraintes du temps et de l'espace et guide vers la plénitude

D’illustres invités ont collaboré au disque dont le batteur de renom Karim Ziad et le bass

Youcef Boukella fondateur de l’Orchestre National de Barbes.

“Le Sahara compte de nouvelles voix captivantes pour propager ses traditions afro-berbères. Rompue dès l’enfance aux cérémonies du diwane (le gnawa d’Algérie), celle de Hafid Bidari a mitonné dans le chaudron de l’Orchestre national de Barbès. Avec Bania, son groupe formé dans la diaspora, ce chanteur à la voix grave en rénove le répertoire en mêlant les guitares aux âpres riffs du guembri, la batterie aux frappes vibrantes du bendir. Porté par la frénésie des karkabous, le tout compose un florilège puissant de choeurs tournoyants et de syncopes électrifiées : la transe est chaleureuse.” Anne Berthod – Télérama

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